Notes concernant cette review :
Pour remettre les choses dans leur contexte,
Sturmwind est un
jeu indépendant réalisé par un petit groupe de développeurs (2 en
l’occurrence), bien loin des grosses compagnies du jeu-vidéo.
Ce genre de jeu / projet est parfois celui d'une vie et demande des mois
/ années de travail et de sacrifices. C'est pour cela et par pur
respect du projet,
qu'il y aura pas de laxisme ni d’extrême intransigeance sur la review : j'essaierai d'être le plus neutre possible.
Il y a quelques mois j'ai été contacté par un membre de l'équipe responsable du jeu,
Duranik,
pour réaliser une preview en avant-première. L'équipe m'avait alors envoyé une démo de quelques niveaux. Mon avis sur cette dernière s'était avéré très positif, vous pouvez d'ailleurs la retrouver à cette adresse :
preview Sturmwind RC7.
Le jeu a été testé par mes soins sur deux Dreamcast, l'une connectée à une borne arcade sur écran 25" (CRT) et l'autre à un écran LCD via VGA. J'ai utilisé un pad
officiel ainsi que les sticks et boutons pour la borne. Un SD-card est relié à chacune des
consoles.
Pour cette review j'ai opté pour le pack Collector vendu à environ 70€, seulement l'incompétence de l'éditeur Red Spot Games (
à lire pour plus de détails) a fait que je ne l'ai jamais reçu... je me suis donc rabatu sur l'édition Regular, disponible à la vente au prix approximatif de 35€.
La review se fait en trois parties :
- La première, le préambule présente l'historique rapide du jeu et les développeurs
- La seconde est celle du test pur avec note sur 5 et appréciation pour chaque partie, une note finale sur 10 ainsi qu'un point sur ce que j'ai aimé ou pas.
- La dernière regroupe diverses informations. La plupart étant déjà présentes dans la preview du jeu.
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PRÉAMBULE
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Trailer du jeu :
Voici le trailer de lancement :
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Présentation des développeurs :
Sturmwind est le second jeu commercialisé par
Duranik, une fratrie d'origine germanique : Roland et Johannes Graf. Le premier jeu réalisé par l'équipe était
Alpine Games sur Atari Lynx. Un jeu de sport d'hiver considéré par de nombreux fans
comme le meilleur jeu de la console portable d'Atari.
Vous pouvez retrouver un mini-dossier des différentes productions du duo à cette adresse :
petit point sur les productions Duranik.
Présentation du jeu :
Sturmwind est un jeu indépendant, proposé sur CD et non sur GD-Rom.
Non zoné il est exécutable depuis n'importe quelle Dreamcast (d'avant fin 2001),
quelque soit sa version.
Son développement a duré plusieurs années et a d'abord été programmé pour sortir sur Jaguar sous le nom de Native.
Il s'agit d'un shoot'em up horizontal au même titre que
R-Type ou
Pulstar et à la particularité de mêler 2D et (fausse) 3D.
Le jeu propose 7 niveaux décomposés en plusieurs parties que je nommerai levels, ces derniers ayant chacun un boss final.
Sturmwind est compatible VGA, VMU, pad et stick arcade mais aussi avec un nouvel hardware (non-officiel) : le
SD card. Il vous permettra de récupérer les captures d'écran que vous aurez
réalisées en cours de partie. Les screenshots qui agrémentent cette page
sont d'ailleurs réalisés à l'aide de ce petit hardware.
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| Exemple de SD-Card |
Pour ce qui est du scénario, je ne vais pas vous en faire le speech, vous admettrez aisément que l'histoire n'a pas trop d'importance dans ce genre de jeu.
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LE TEST
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Le packaging :
Le pack Regular est sobre, livré sous blister. Le boitier est celui d'un CD classique blanc, le mien est arrivé cassé.
Une très belle notice d'une vingtaine de pages fait aussi office de double-jaquette (une de chaque coté du livret). La qualité du papier et son impression sont de bonne qualité. Nous y retrouverons les principales informations détaillées en anglais : armes, bonus, écrans et contrôles.
C'est une des plus belles notices de jeux indépendants qu'il m'ait été donné de voir.
Dans les points négatifs nous pouvons souligner l'absence de scénario dans la notice et de spin card pour les collectionneurs.
Note : 4.5/5
Introduction, options, menu :
Alors que la plupart des jeux indépendants Dreamcast ne propose pas d'introduction,
Sturmwind s'offre le luxe d'une très belle introduction, un effort significatif à souligner même si la voix est en allemand... langue non abordable par tout le monde. Une fois passée, le menu principal s'affiche offrant plusieurs choix.
Le
High Score qui comme son nom l'indique récapitule les meilleurs scores enregistrés sur VMU en fonction des modes. Vous pouvez d'ailleurs participez avec la communauté
ici ou bien sur le système de ranking, classement en
ligne, ici :
duranik.com/sturmwind.
Les
Options permettant le paramétrage de la difficulté, du sons, des contrôles et l'ajustement de l'écran.
Le
Bonuses : images, vidéos... qui seront débloqués au fur et à mesure de votre avancée dans le jeu.
Le
Start Game, nous permez d'entrer dans le vif du sujet. Seuls deux modes de jeux bien similaires sont proposés :
Arcade et
Normal. La principale différence entre les deux modes est que le second gère l'auto-save (voir plus bas dans le review) contrairement au premier qui se voit aussi amputé de quelques levels.
Note : 4/5
Les graphismes, le design :
La béta de
Sturmwind m'en avait franchement mis plein les yeux, il en est exactement de même pour la version finale. Exceptionnel, hallucinant, sublime... les superlatifs manquent tant le jeu est beau. On laisse perdre le fil de son aventure pour admirer les joyaux que sont les tableaux du jeu, les ennemis, les fonds d'écran, le moindre objet est merveilleux.
Lors de votre périple vous traverserez de multiples thèmes : aquatique, enneigé, obscure...
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| Un exemple d'effet de lumière du niveau 1-1 |
Des explosions aux effets de lumière et d'eau rien n'est à jeter, les
développeurs ont poussés la 128 bits de Sega dans ses derniers retranchements.
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| Jeux de lumière dans l'obscurité du niveau 3-2 |
Les tirs ennemis se différencient parfaitement des décors tout est respectant le thème qu'ils empruntent
Seul petit défaut, j'entends déjà railler ceux qui ont touché au jeu, certains boss paraissent un peu "plats" comme s'ils manquaient de consistance malgré leurs tailles gigantesques.
Sturmwind peut se targuer d’être, si ce n'est le, l'un des plus beaux jeux de la Dreamcast.
Note : 4.9/5
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| Kraken n'est pas en peluche ici ! Niveau 4-1. |
Animations :
Les animations sont très nombreuses, le jeu est en perpétuel mouvement, peut-être parfois un peu trop rendant l'action, très exceptionnellement, fouillie.
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| Explosions en niveau 1-1 |
Sturmwind ne souffre d'aucune saccade ou autre ralentissement à quelques très très (très ?) rares exceptions près. Les mouvements des boss et autres vaisseaux adverses sont parfaitement fluides.
L'action est rythmée par d'innombrables ennemis et pièges en tous genres
sortant de tous les cotés de l'écran ainsi que des différents arrières
plans.
Niveau animation aussi le jeu est grandiose. Cette alliance de somptueux
graphismes à d'animations futuristes ultra réussies est un régal pour
les yeux.
Note : 4.5/5
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| Tout début du niveau 1-1 |
Maniabilité :
La manette bien particulière de la Dreamcast est utilisée à bon escient, le vaisseau répond intuitivement, c'est encore une fois parfait. Les fonctions des boutons sont modifiables dans les options.
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| Boss du niveau 2-1 |
Note : 5/5
Musiques :
La musique composée par
5o5 est du genre électro-rock (désolé si je me trompe ^^) collant parfaitement à l'ambiance générale du jeu, une excellente surprise. Le volume par défaut de la musique est un peu trop faible, il vous faudra modifier les réglages du son dans les options pour en profitez pleinement.
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| Niveau 1-3 : des flèches indiquent les dangers immédiats |
Note : 4.5/5
Bruitages et effets sonores :
Pour ce qui est des bruitages, ils sont de très bonnes factures, eux aussi. Les explosions ne manquent pas d'effets sonores, elles sont même parfois assourdissantes à en devenir gênant à certains passages.
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| Level 1-1 |
Note : 4/5
Durée de vie :
Les deux seuls modes n'offrent pas d’expériences vraiment différentes.
Le mode
Normal est en "auto-save par paliers" c'est à dire
que la sauvegarde est automatique après
chaque passage de niveau et level. Vous pourrez repartir de n'importe
lequel une fois qu'ils ont été terminés avec boss de fin détruit. Ce mode de jeu vous offrira une grande aventure d'une quinzaine de levels, les achever vous demandera très certainement de longues heures de jeu.
Terminer
Sturmwind dans ce mode
ne relève pas de l'exploit comme pour certains shmup (Dux 1.0 pour le citer).
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| Niveau 7-1, la fin du jeu est proche |
Si vous êtes un gros joueur, le mode
Arcade vous est tout destiné. Ce mode de jeu ne permet pas de sauvegarde, il vous faudra faire
le jeu de A à Z sans fléchir.
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| Vous avez une centaine de secondes pour détruire le Boss, niveau 1-4 |
La
difficulté globale de
Sturmwind est bien dosée et modifiable dans les options. Je pense
que tout le monde trouvera son bonheur.
Il devrait en être de même pour les High Score Gamer qui devraient être comblés notamment par les différentes Wave Bonus (voir plus bas).
La galerie
Bonuses avec superbes images, vidéos et autres informations à débloquer au fur et à mesure de vos avancées dans le jeu rajoute un petit plus à la durée de vie.
Note : 3/5
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| Une soupe bien spéciale en milieu de niveau 2-1 |
En Conclusion :
Jouer à
Sturmwind c'est s'en mettre plein les yeux et les oreilles, c'est s'émerveiller toutes les cinq secondes malgré plusieurs heures de jeu, c'est avoir les yeux comme le loup de Tex Avery, c'est.... c'est magique. Je prends un grand plaisir avec ce jeu. On sent que la Dreamcast sort ses tripes qui n'a rien à envier aux productions actuelles.
Cependant, je dois essayer de rester objectif (dur dur) et admettre que certains ne le prendront probablement pas leur pied.
Sturmwind a bien d'énormes qualités incontestables mais peut se montrer bien plat pour les amoureux de bullets et du manic-shooting. Le jeu de
Duranik vise avant tout un large public.
Personnellement, il fait parti de mon top 5 des jeux Dreamcast au coté de Under Defeat pour n'en citer qu'un. Ses plus gros défauts sont ses deux seuls modes de jeu bien similaires et le peu diversité d'armement du vaisseau.
Comme dirait mon boucher :
Achetez-le ou pendez-vous !
Merci Duranik, je vous aime.
Notes globales : 9.5/10
Ce que j'ai aimé :
- Des graphismes extraordinaires
- Une animation toute aussi grandiose
- Les multitudes d’ennemis et de boss
- Les musiques de 5o5
- La capture d'écran in-game
- 16 niveaux
- C'est beau .... quoi je l'ai déjà dit ?
- Les bonus et clins d’œils
- Le gameplay
- Du mouvement toujours du mouvement
- L'utilisation du Sd-Card
- Les éléments naturels mis à contribution
Ce que j'aurais aimé :
- Les vidéos de replay récupérables sur SD-Card
- Un choix de vaisseau
- Un mode 2 joueurs
- Une spin card
- Une édition/distribution digne ce jeu (RSG : shame on you !)
Ce que je n'ai pas aimé :
- Seulement 3 types d'armes
- Seulement 2 modes de jeu très similaires
- Les bruitages des explosions sur certains passages
- La langue utilisée dans l'introduction
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EN VRAC
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Les ennemis et les boss (aïe-aïe-aïe) :
Durant
votre combat contre les forces du mal, vous combattrez une grande
quantité d'adversaires : vaisseaux, tanks, robots, animaux... la
diversité et leur nombre sont impressionnants.
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| Pour le plaisir, toujours le poulpe de Native ! |
Un autre gros point fort du jeu, le charisme des boss. Au look d'enfer, se sont d'énormes insectes bioniques (mantes
religieuse...), robots ou autres animaux bizarroïdes. Ils sont ultra-détaillés et peuvent
prendre plusieurs tailles d'écran. Leur nombre avoisine la vingtaine.
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| Boss du niveau 3-1 |
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| Bullets du boss niveau 1-1
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Les effets "naturels" :
Tout au long de votre traversé vous devrez nous seulement lutter contre vos ennemis en tous genres mais aussi contre les éléments naturels. Par exemple le vent vous ballotera dans tous les sens ou bien donnera de la vitesse à certains objets qui deviennent alors des violents projectiles.
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| Niveau 4-2 les éléments naturels se déchainent |
Offensives - défensives :
Votre vaisseau ressemble beaucoup à celui du jeu
R-Type,
de forme allongée il répond au doigt et à l’œil. Contrairement à moult
jeux de ce type il ne sera pas détruit au premier tir ou touche ennemie.
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| Jeux de lumière avec l'eau au niveau 3-2 |
Vous disposez de 3 "chances" qui sont directement liées aux armes, pas clair ? Je m'explique.
Lorsque vous êtes touchés l'arme que vous utilisiez est détruite. Ayant
trois armes différentes vous pouvez donc infliger deux touches au
vaisseau sans qu'il soit détruit. Au troisième tir subit, vous perdrez
une vie parmi les deux disponibles.
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| Niveau 3-1 en vue de dessus |
Trois armes vous sont donc allouées dés le départ de la partie, elles sont repérables en haut à droite de l'écran.
Le tir de couleur verte, le plus puissant et le plus précis des trois, sa direction est rectiligne ne couvrant que très peu l'écran.
Les tirs bleu et jaune sont approximativement de même puissance. Le bleu
est un tir large formant une vague vous protégeant par la même
occasion. Le dernier, le jaune quant à lui est le seul à partir de
l'arrière vers l'avant en arc de cercle, la pression du bouton joue ici
un rôle important. Il permet ainsi de d'éradiquer les ennemis situés sur
et sous votre vaisseau.
Soulignons que les tirs des trois armes peuvent être dirigées soit vers l'avant, soit vers l'arrière du vaisseau.
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| Pour le plaisir des yeux ? |
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| Le bouton X permet de changer la direction du tir, niveau 4-1 |
Comme tous bons jeux de shoot des items appelés ici
Weaponcontainer sont récupérables après explosion de certains ennemis ou décors. Ces
Weaponcontainer
sont d'abord des classiques points que les High Score Gamers
affectionneront tout particulièrement. Vous pouvez changer leurs
fonctions en shootant dedans. Vous récolterez ainsi un ou plusieurs
drones qui se colleront à votre appareil et pourrez ensuite les
diriger partiellement. Les items vous permettront aussi de récupérer vos
armes détruites précédemment.
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| Vaisseau avec 2 drones, niveau 2-1 |
En plus des tirs classiques, les
Smart Bomb sont à votre
disposition, vous pourrez en stocker trois. Ce sont les classiques
bombes détruisant tous, ou presque, sur l'écran : ennemis et décors. Une
seule vous est attribuée en début de jeu mais certains ennemis en
libéreront après leur destruction. De même vous pourrez cumuler des vies
supplémentaires grâce à l'objet
1Up.
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| Écran supérieur détaillé |
Wave Bonus, le graal des High Score gamers :
Une
Wave Bonus apparaitra lorsque vous aurez détruit toute une série d'ennemis d'un coup. Les mots
Wave Bonus apparaitront alors à
l'écran, si vous détruisez toutes les lettres dans le temps imparti,
vos points par ennemis détruits seront multipliés. Plusieurs
Wave Bonus peuvent arriver successivement.
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| Wave Bonus en niveau 1-1 |
Des détails qui comptent :
Tout au long du jeu de nombreux clins d’œil et autres objets en
incohérence totale avec la partie ont été volontairement glissés par
Duranik : lemmings avec parapluie descendant du ciel, ballon de foot... Vous pouvez retrouver ou donner vos découvertes insolites sur le topic dédié du forum ici :
Jeu de l'insolite Sturmwind.
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| Level 3-1 : euh... ya un ballon là ?! Non ? |
Les points vitaux de chaque boss sont données en début de chaque level
permettant ainsi d'éventuellement prévoir comment s'y prendre avec lui.
Tout semble fait pour éviter le shoot de mémoire où il faut apprendre
les niveaux par cœur.
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| Le warning annonce l'arrivé du boss niveau 3-2 |
Le support du SD Card :
Comme signalé plus haut
Sturmwind est le premier jeu commercial compatible avec SD Card. Ce petit hardware généralement connecté au port série de la console est en communication avec le jeu.
Il permet la capture d'écran. Pour les réaliser c'est très simple, connectez votre SD Reader (avec carte) et allumez votre console avec
Sturmwind en place. Le jeu reconnait alors votre SD Card.
Une fois le jeu lancé, mettez en pause et appuyez sur Y pour prendre le screenshoot, il sera enregistré au format .BMP sa taille sera de 640x416. Vous pourrez ensuite le récupérer depuis un PC par exemple, il sera localisable en \STURM\SCREENS\LEVELx_x\.
L'équipe de développeurs Duranik a laissé entendre que des ajouts de contenu (DLC) pourraient être disponibles dans le futur, la "mise à jour" passerait alors par le SD Card. Il y a peu, elle a questionné les fans pour savoir ce qu'ils aimeraient, plus d'informations dans cette news :
Sturmwind, la-suite.
